24
Avril
Contes des "Pourquoi...?" (CM1-CM2)
Publié le 24/04/2020
Publié le 24/04/2020
Les contes présentés ci-dessous répondent à une commande. En effet, les élèves des classes de maternelle nous ont demandé de leur expliquer pourquoi les girafes avaient un long cou, pourquoi les crabes se déplaçaient de côté, pourquoi les loups hurlaient à la lune,... Et donc par petits groupes, nous leur avons écrit des contes pour répondre à leurs questions...
Voici les cinq premiers récits.
Pourquoi les loups hurlent-ils à la lune ?
Il y a très longtemps, les loups et les hommes cohabitaient. Parmi ces loups se trouvait Tomas. C’était un loup intelligent, gentil et sportif. Mais Tomas avait, tous les soirs, l’habitude de parler à la lune. Quand il le racontait, tout le monde se moquait de lui. Personne ne le croyait. Tomas en avait assez . Alors, il arrêta de parler à la lune. Mais la lune lui demanda d’essayer de le prouver car elle était avec lui.
Tomas voulait bien la croire, mais il pensait que cela était impossible. Mais il ne pouvait pas abandonner. Il demanda conseil aux hommes. Mais malheureusement ils ne voulaient pas l’aider. Il se découragea. Comme Tomas ne cessait de le leur demander, les hommes n’en pouvaient plus et décidèrent de livrer bataille aux loups. Ils blessèrent le chef des loups. Depuis ce jour, loups et hommes ne cohabitaient plus. Ils se détestèrent jusqu’à la fin des temps.
Quelques temps après, Tomas réussit à convaincre les loups de venir l’aider à aller sur la lune. Les loups lui expliquèrent comment y arriver. Il partit très tôt le matin pour trouver Mère Nature. Celle-ci pouvait exaucer deux vœux. Quand il la trouva, il vit qu’elle était malade. Elle posa des conditions à Tomas. Il devait lui rapporter trois fleurs magiques : une bleue, une rouge et une verte. Il retourna voir les loups pour demander au chef où se situaient les fleurs. La fleur rouge se trouvait dans un volcan. Pour s’y rendre, il mit une journée entière.
En chemin, il rencontra des singes. Il leur demanda de l’aide. Ils acceptèrent, alors il leur expliqua la situation. Les singes l’aidèrent à trouver le bon volcan. Le serviteur du roi singe lui donna un message : en échange de l’aide de ses guerriers les plus forts, il devait lui apporter de la roche de lave. Tomas accepta et il se mit à escalader le volcan avec les guerriers du roi. Une fois au sommet du volcan, le plus grand et le plus fort restèrent sur le sommet. Les autres singes formèrent une chaîne et les deux autres guerriers suspendirent la chaîne de singes au-dessus de la fleur. Le guerrier le plus proche de la fleur attrapa Tomas par les pattes et le positionna à coté de la fleur. Il réussit à la prendre. Il en profita pour prendre la roche de lave puis la rapporter au roi singe.
Après ces épreuves, Tomas se mit à la recherche de la fleur bleue. Il se baladait au bord de la plage pour réfléchir à comment la trouver et il se dit que la fleur bleue serait sûrement dans la mer. Après quelques heures de repos, il vit un bateau de pêcheurs et eut l’idée de monter à bord sans se faire repérer. Il se cacha dans les soutes du bateau et vit la mer par un hublot. Après plusieurs heures de navigation, il aperçut une baleine bleue et eut l’idée de lui demander si elle savait où était la fleur bleue magique. Elle lui fit un clin d’œil et lui expliqua où elle se trouvait. Au fond du bateau, Tomas trouva une combinaison de plongée. Il la prit et partit à la recherche de la fleur magique. En chemin, il rencontra des dauphins qui l’aidèrent à trouver la caverne secrète où était cachée la fleur. Cette caverne était gardée par un requin géant endormi. Il entra discrètement, sans faire de bruit ni de bulles, prit la fleur bleue et remonta à bord du bateau sain et sauf.
Puis Tomas se mit en route pour chercher la troisième fleur. Celle-ci se trouvait dans une noix de coco non loin de là. Arrivé sur place, il rencontra un koala nommé Tic. Il lui demanda s’il savait où se trouvait la fleur. Il lui dit qu’elle était dans une noix de coco, mais il ne savait pas laquelle. Alors, Tomas eut une idée. Il dit à Tic ce qu’il aimerait avoir en échange de son aide. Tic lui dit qu’il aimerait exaucer un vœu. Alors Tomas lui dit de l’aider car lui aussi voulait exaucer un vœu et qu’il en gagnerait deux s’il ramenait les trois fleurs. Tic accepta puis ils se mirent en quête. Au bout de deux heures, ils trouvèrent la fleur.
Après avoir trouvé la troisième fleur, Tomas et Tic se mirent en route pour aller chez Mère Nature. Arrivés chez Mère Nature, ils lui donnèrent les fleurs. Elle fabriqua la potion qui pouvait la soigner et dit à Tomas : « Qui est ce jeune koala ? ». Tomas répondit :« C’est un ami qui m’a aidé à trouver la fleur verte et en échange il m’a demandé un vœu ». Alors Mère Nature demanda quels étaient les vœux de Tomas. Ce dernier dit : « Mon premier vœu est de partir sur la lune. Mon deuxième je l’offre à Tic car il m’a aidé. » . Puis Mère Nature demanda à Tic quel vœu il voulait exaucer. Ce dernier répondit : « Je voudrais avoir de l’eucalyptus pour tous les koalas pendant l’hiver. » Puis les vœux s’exaucèrent. Ainsi, Tic dit au revoir à Tomas juste avant son départ vers la lune. Tic eut aussi de l’eucalyptus à déguster tout l’hiver avec tous les koalas.
Depuis ce jour, Tomas n’est jamais revenu de la lune, et c’est pour cela que lorsqu’ils pensent à Tomas, les loups hurlent à la lune pour l’appeler.
Pourquoi la girafe a-t-elle un long cou ?????
Il était une fois, dans une forêt d’Afrique, un peuple de girafe qui vivait dans la joie et la bonne humeur. Mais leur problème était leur taille car elle était semblable à celle d’une fourmi. Ceci provoquait de nombreux problèmes.
Après une course de zèbres passant sur le village, le chef des girafes se fit piétiner par le troupeau. Suite à cela le peuple de girafes se réunit afin d’amener leur chef chez le guérisseur. Même avec son expérience le guérisseur fut surpris par une telle blessure.
Malgré le fait qu’il ne connaissait pas cette blessure, il tenta d'inventer plusieurs potions. Et chaque potion était un échec.
Au bout de la 117ème tentative, le guérisseur se souvint d’une vieille connaissance qui s’était guérie grâce à de la bave de crapaud et des graines de bambous. Désespéré, il tenta tout de même cette dernière recette. Et là, d’un coup, la girafe vit son cou et son corps se mettre à grandir, grandir, grandir... Mais s’étant trompé dans le nombre de graines de bambou, le cou de la girafe ne s’arrêta de grandir que le lendemain.
Envieux du long cou de leur chef, le peuple de girafes décida de s’emparer et de boire la potion magique. Le lendemain matin, le peuple entier se retrouva avec un beau et long cou.
Depuis ce jour, toutes les girafes de la Terre ont un long cou, de grandes pattes, et ne se font plus piétiner au passage de troupeaux.
Pourquoi les moustiques piquent-ils ?
Il y a très longtemps, les moustiques écrasaient tout sur leurs passages. Leurs tailles étaient équivalentes à deux fenêtres empilées. Ils étaient immenses ! C’était un malheur pour les humains, ils se faisaient écraser tous les jours par de géants moustiques. Ils habitaient dans un royaume nommé Mousticus. Celui-ci se composait d’un palais habité par le magicien nommé Rafon et d’un gigantesque parc. Les moustiques eurent une longue discussion avec Rafon.
Rafon leur demanda :« Pourquoi écrasez-vous tant les humains ? »
Mais une petite voix l’interrompit : « Je ne veux pas écraser les humains ».
A ce moment précis d’autres moustiques se moquèrent de lui. Tous les moustiques repartirent mais la petite voix inconnue resta. Elle parla longtemps avec Rafon.
Certains moustiques pratiquaient le break-pong. Les règles du jeu étaient de faire une figure de break-dance et de taper le plus loin possible avec une raquette et une balle de pingpong. La voix qu’on avait entendue auparavant venait d’un moustique nommé Zorta. Il avait une équipe de break-pong : le ZFC. Pendant un match, les moustiques sentirent une drôle d’odeur, celle d'un produit anti-moustiques. Ils n’avaient pas tort. Ceci blessa plusieurs de ses insectes. Mais parmi les hommes, ils virent Rafon. Cela leur fît un grand choc car Rafon réalisa le sortilège « rafonnieux ». Tous les moustiques rétrécirent.
Et depuis ce jour ces affreux monstres, désormais tout petits, se vengent en nous piquant.
Pourquoi les crabes se déplacent-ils sur le côté ?
Il était une fois, des crabes qui vivaient sur une île paradisiaque, qui se nommait « Port-Vila ». Une famille qui adorait voyager décida un jour de partir découvrir ce qui se cachait derrière cette grande mer, qu’ils observaient chaque jour et qui questionnait cette famille.
Ils décidèrent de partir le lendemain, avec quelques provisions pour vivre. Mais la famille ne savait pas qu’à Honiara, il n’y avait rien à manger. Ils hésitèrent à partir de leur si belle île, avec sa belle eau bleu turquoise et avec cette si bonne nourriture. L’enfant crabe ne voulait pas quitter ses copains, mais ses parents lui promirent un pays encore plus beau que celui où ils vivaient. Alors Boubou (le petit crabe) accepta.
Baba au rhum (le papa), Tropézienne (la maman) et Boubou partirent le soir même. Ils nagèrent toute la nuit, mais grâce au courant de l’eau qui les portait, ils n’étaient pas trop fatigués ! La première semaine se passa très bien. Grâce aux réserves qu’ils avaient emportées avec eux, ils n’avaient pas besoin de chasser. La semaine d’après fut beaucoup plus compliquée. Ils ne trouvèrent rien à manger car ils n’avaient plus de réserves.
Une autre famille de crabe leur dit qu’il y avait un sorcier qui habitait sur l’île et donc Baba au rhum alla le voir. Il leur proposa de leur donner à manger pour toujours, mais en échange, ils devaient prendre la maladie du sorcier, qui était de marcher sur le côté à tout jamais. Les crabes acceptèrent ! Au village, comme on ne les voyait pas revenir, ils décidèrent d’aller les rejoindre. Une fois arrivés, ils retrouvèrent la famille crabe et marchèrent eux aussi sur le côté pour avoir à manger pour le reste de leurs jours.
Certains crabes décidèrent de découvrir d’autres îles, et, à leur tour, ils transmirent à tous les autres peuples la marche sur le côté. Ensuite, tous les crabes partirent de Port-Vila car c’était devenu une ville de mangeurs de crabes (les humains) et les crabes vécurent heureux. Ils apprirent à se défendre grâce à leurs pinces. C’est depuis ce jour qu’ils marchent sur le côté et ils le transmettent encore à leurs enfants.
Pourquoi le hérisson pique-t-il ?
Il était une fois, un petit hérisson nommé Hérick. Il apprenait avec tous ses amis à se défendre et à se nourrir seul. Les hérissons avaient autrefois des poils tout lisses. Hérick avait des difficultés pour apprendre, surtout avec des amis qui se disputaient pour lui.
Un jour, Hérick se dirigea vers la bibliothèque de la classe d’à côté. Quand il y entra, il repéra un livre en or, mais le maître arriva. Il lui dit: « Que fais-tu ici ? C’est la bibliothèque de la classe d’à côté ». Comme Hérick ne répondait pas, le maître lui ordonna : « Demain tu nettoieras cette pièce. Fin de la discussion ! ».
Le lendemain, il dut se mettre au travail. Soudain, il entendit un bruit. Il s’en rapprocha de plus en plus, et remarqua que ce bruit venait du livre trouvé le jour précédent qui venait de tomber. Alors il lâcha son torchon et engouffra le livre dans sa poche puis se remit à l’ouvrage. Quand il eut finit il rentra chez lui.
Quand il arriva enfin chez lui, il feuilleta le livre et apprit que dans la forêt du danger, se trouvait un aigle très puissant. On l’appelait « le grand aigle de la forêt ». Alors, le soir même, il partit pour la forêt du danger sans le dire à personne. Quand il se trouva là-bas, il comprit vite pourquoi les autres appelaient cette forêt « la forêt du danger ». Elle était en effet tellement sombre, silencieuse. Au bout d’une heure de marche, Hérick commença à avoir faim. Et il remarqua vite qu’il n’avait rien emporté dans son sac. Mais il lui restait une chance de manger, il commença à chercher dans la forêt toute entière. Il finit finalement par manger quelques fruits. A force de chercher de la nourriture (en vain) il se retrouva perdu dans la forêt…
Puis il se rappela que dans le livre en or il y avait un plan de la forêt. Alors, il se dirigea vers la prairie où se trouvait « le grand aigle de la forêt ». Après un petit moment, il se retrouva face à l’aigle : il se nommait Wiki Weasley. Il était gigantesque et mesurait au moins 10 mètres de hauteur et 5 mètres de largeur.
Quand il leva la tête vers l’aigle, il se mit à hurler. Mais au fond, il se disait « je l’ai trouvé » ! D’une voix étouffée mais haute, Wiki lui demanda : « Que fais-tu ici Hérick ? » Hérick commença d’une toute petite voix: « O grand aigle de la forêt… ». Wiki commença à claquer des doigts, et une armée de piques surgit des ténèbres de la forêt. Après quelques secondes, il envoya les piques sur le hérisson. Hérick eut beau se débattre, les piques foncèrent quand même sur lui. D’un nouveau claquement de doigts, Wiki fit apparaitre Hérick devant l’école.
Une seconde plus tard, Hérick aperçut le maître qui accourait vers lui. Après avoir tout expliqué à la classe et au maître, tous les hérissons de l’école voulurent avoir des piques.
C'est ainsi que bien des générations plus tard, les hérissons portent encore des piques
Voici les cinq premiers récits.
Pourquoi les loups hurlent-ils à la lune ?
Il y a très longtemps, les loups et les hommes cohabitaient. Parmi ces loups se trouvait Tomas. C’était un loup intelligent, gentil et sportif. Mais Tomas avait, tous les soirs, l’habitude de parler à la lune. Quand il le racontait, tout le monde se moquait de lui. Personne ne le croyait. Tomas en avait assez . Alors, il arrêta de parler à la lune. Mais la lune lui demanda d’essayer de le prouver car elle était avec lui.
Tomas voulait bien la croire, mais il pensait que cela était impossible. Mais il ne pouvait pas abandonner. Il demanda conseil aux hommes. Mais malheureusement ils ne voulaient pas l’aider. Il se découragea. Comme Tomas ne cessait de le leur demander, les hommes n’en pouvaient plus et décidèrent de livrer bataille aux loups. Ils blessèrent le chef des loups. Depuis ce jour, loups et hommes ne cohabitaient plus. Ils se détestèrent jusqu’à la fin des temps.
Quelques temps après, Tomas réussit à convaincre les loups de venir l’aider à aller sur la lune. Les loups lui expliquèrent comment y arriver. Il partit très tôt le matin pour trouver Mère Nature. Celle-ci pouvait exaucer deux vœux. Quand il la trouva, il vit qu’elle était malade. Elle posa des conditions à Tomas. Il devait lui rapporter trois fleurs magiques : une bleue, une rouge et une verte. Il retourna voir les loups pour demander au chef où se situaient les fleurs. La fleur rouge se trouvait dans un volcan. Pour s’y rendre, il mit une journée entière.
En chemin, il rencontra des singes. Il leur demanda de l’aide. Ils acceptèrent, alors il leur expliqua la situation. Les singes l’aidèrent à trouver le bon volcan. Le serviteur du roi singe lui donna un message : en échange de l’aide de ses guerriers les plus forts, il devait lui apporter de la roche de lave. Tomas accepta et il se mit à escalader le volcan avec les guerriers du roi. Une fois au sommet du volcan, le plus grand et le plus fort restèrent sur le sommet. Les autres singes formèrent une chaîne et les deux autres guerriers suspendirent la chaîne de singes au-dessus de la fleur. Le guerrier le plus proche de la fleur attrapa Tomas par les pattes et le positionna à coté de la fleur. Il réussit à la prendre. Il en profita pour prendre la roche de lave puis la rapporter au roi singe.
Après ces épreuves, Tomas se mit à la recherche de la fleur bleue. Il se baladait au bord de la plage pour réfléchir à comment la trouver et il se dit que la fleur bleue serait sûrement dans la mer. Après quelques heures de repos, il vit un bateau de pêcheurs et eut l’idée de monter à bord sans se faire repérer. Il se cacha dans les soutes du bateau et vit la mer par un hublot. Après plusieurs heures de navigation, il aperçut une baleine bleue et eut l’idée de lui demander si elle savait où était la fleur bleue magique. Elle lui fit un clin d’œil et lui expliqua où elle se trouvait. Au fond du bateau, Tomas trouva une combinaison de plongée. Il la prit et partit à la recherche de la fleur magique. En chemin, il rencontra des dauphins qui l’aidèrent à trouver la caverne secrète où était cachée la fleur. Cette caverne était gardée par un requin géant endormi. Il entra discrètement, sans faire de bruit ni de bulles, prit la fleur bleue et remonta à bord du bateau sain et sauf.
Puis Tomas se mit en route pour chercher la troisième fleur. Celle-ci se trouvait dans une noix de coco non loin de là. Arrivé sur place, il rencontra un koala nommé Tic. Il lui demanda s’il savait où se trouvait la fleur. Il lui dit qu’elle était dans une noix de coco, mais il ne savait pas laquelle. Alors, Tomas eut une idée. Il dit à Tic ce qu’il aimerait avoir en échange de son aide. Tic lui dit qu’il aimerait exaucer un vœu. Alors Tomas lui dit de l’aider car lui aussi voulait exaucer un vœu et qu’il en gagnerait deux s’il ramenait les trois fleurs. Tic accepta puis ils se mirent en quête. Au bout de deux heures, ils trouvèrent la fleur.
Après avoir trouvé la troisième fleur, Tomas et Tic se mirent en route pour aller chez Mère Nature. Arrivés chez Mère Nature, ils lui donnèrent les fleurs. Elle fabriqua la potion qui pouvait la soigner et dit à Tomas : « Qui est ce jeune koala ? ». Tomas répondit :« C’est un ami qui m’a aidé à trouver la fleur verte et en échange il m’a demandé un vœu ». Alors Mère Nature demanda quels étaient les vœux de Tomas. Ce dernier dit : « Mon premier vœu est de partir sur la lune. Mon deuxième je l’offre à Tic car il m’a aidé. » . Puis Mère Nature demanda à Tic quel vœu il voulait exaucer. Ce dernier répondit : « Je voudrais avoir de l’eucalyptus pour tous les koalas pendant l’hiver. » Puis les vœux s’exaucèrent. Ainsi, Tic dit au revoir à Tomas juste avant son départ vers la lune. Tic eut aussi de l’eucalyptus à déguster tout l’hiver avec tous les koalas.
Depuis ce jour, Tomas n’est jamais revenu de la lune, et c’est pour cela que lorsqu’ils pensent à Tomas, les loups hurlent à la lune pour l’appeler.
Pourquoi la girafe a-t-elle un long cou ?????
Il était une fois, dans une forêt d’Afrique, un peuple de girafe qui vivait dans la joie et la bonne humeur. Mais leur problème était leur taille car elle était semblable à celle d’une fourmi. Ceci provoquait de nombreux problèmes.
Après une course de zèbres passant sur le village, le chef des girafes se fit piétiner par le troupeau. Suite à cela le peuple de girafes se réunit afin d’amener leur chef chez le guérisseur. Même avec son expérience le guérisseur fut surpris par une telle blessure.
Malgré le fait qu’il ne connaissait pas cette blessure, il tenta d'inventer plusieurs potions. Et chaque potion était un échec.
Au bout de la 117ème tentative, le guérisseur se souvint d’une vieille connaissance qui s’était guérie grâce à de la bave de crapaud et des graines de bambous. Désespéré, il tenta tout de même cette dernière recette. Et là, d’un coup, la girafe vit son cou et son corps se mettre à grandir, grandir, grandir... Mais s’étant trompé dans le nombre de graines de bambou, le cou de la girafe ne s’arrêta de grandir que le lendemain.
Envieux du long cou de leur chef, le peuple de girafes décida de s’emparer et de boire la potion magique. Le lendemain matin, le peuple entier se retrouva avec un beau et long cou.
Depuis ce jour, toutes les girafes de la Terre ont un long cou, de grandes pattes, et ne se font plus piétiner au passage de troupeaux.
Pourquoi les moustiques piquent-ils ?
Il y a très longtemps, les moustiques écrasaient tout sur leurs passages. Leurs tailles étaient équivalentes à deux fenêtres empilées. Ils étaient immenses ! C’était un malheur pour les humains, ils se faisaient écraser tous les jours par de géants moustiques. Ils habitaient dans un royaume nommé Mousticus. Celui-ci se composait d’un palais habité par le magicien nommé Rafon et d’un gigantesque parc. Les moustiques eurent une longue discussion avec Rafon.
Rafon leur demanda :« Pourquoi écrasez-vous tant les humains ? »
Mais une petite voix l’interrompit : « Je ne veux pas écraser les humains ».
A ce moment précis d’autres moustiques se moquèrent de lui. Tous les moustiques repartirent mais la petite voix inconnue resta. Elle parla longtemps avec Rafon.
Certains moustiques pratiquaient le break-pong. Les règles du jeu étaient de faire une figure de break-dance et de taper le plus loin possible avec une raquette et une balle de pingpong. La voix qu’on avait entendue auparavant venait d’un moustique nommé Zorta. Il avait une équipe de break-pong : le ZFC. Pendant un match, les moustiques sentirent une drôle d’odeur, celle d'un produit anti-moustiques. Ils n’avaient pas tort. Ceci blessa plusieurs de ses insectes. Mais parmi les hommes, ils virent Rafon. Cela leur fît un grand choc car Rafon réalisa le sortilège « rafonnieux ». Tous les moustiques rétrécirent.
Et depuis ce jour ces affreux monstres, désormais tout petits, se vengent en nous piquant.
Pourquoi les crabes se déplacent-ils sur le côté ?
Il était une fois, des crabes qui vivaient sur une île paradisiaque, qui se nommait « Port-Vila ». Une famille qui adorait voyager décida un jour de partir découvrir ce qui se cachait derrière cette grande mer, qu’ils observaient chaque jour et qui questionnait cette famille.
Ils décidèrent de partir le lendemain, avec quelques provisions pour vivre. Mais la famille ne savait pas qu’à Honiara, il n’y avait rien à manger. Ils hésitèrent à partir de leur si belle île, avec sa belle eau bleu turquoise et avec cette si bonne nourriture. L’enfant crabe ne voulait pas quitter ses copains, mais ses parents lui promirent un pays encore plus beau que celui où ils vivaient. Alors Boubou (le petit crabe) accepta.
Baba au rhum (le papa), Tropézienne (la maman) et Boubou partirent le soir même. Ils nagèrent toute la nuit, mais grâce au courant de l’eau qui les portait, ils n’étaient pas trop fatigués ! La première semaine se passa très bien. Grâce aux réserves qu’ils avaient emportées avec eux, ils n’avaient pas besoin de chasser. La semaine d’après fut beaucoup plus compliquée. Ils ne trouvèrent rien à manger car ils n’avaient plus de réserves.
Une autre famille de crabe leur dit qu’il y avait un sorcier qui habitait sur l’île et donc Baba au rhum alla le voir. Il leur proposa de leur donner à manger pour toujours, mais en échange, ils devaient prendre la maladie du sorcier, qui était de marcher sur le côté à tout jamais. Les crabes acceptèrent ! Au village, comme on ne les voyait pas revenir, ils décidèrent d’aller les rejoindre. Une fois arrivés, ils retrouvèrent la famille crabe et marchèrent eux aussi sur le côté pour avoir à manger pour le reste de leurs jours.
Certains crabes décidèrent de découvrir d’autres îles, et, à leur tour, ils transmirent à tous les autres peuples la marche sur le côté. Ensuite, tous les crabes partirent de Port-Vila car c’était devenu une ville de mangeurs de crabes (les humains) et les crabes vécurent heureux. Ils apprirent à se défendre grâce à leurs pinces. C’est depuis ce jour qu’ils marchent sur le côté et ils le transmettent encore à leurs enfants.
Pourquoi le hérisson pique-t-il ?
Il était une fois, un petit hérisson nommé Hérick. Il apprenait avec tous ses amis à se défendre et à se nourrir seul. Les hérissons avaient autrefois des poils tout lisses. Hérick avait des difficultés pour apprendre, surtout avec des amis qui se disputaient pour lui.
Un jour, Hérick se dirigea vers la bibliothèque de la classe d’à côté. Quand il y entra, il repéra un livre en or, mais le maître arriva. Il lui dit: « Que fais-tu ici ? C’est la bibliothèque de la classe d’à côté ». Comme Hérick ne répondait pas, le maître lui ordonna : « Demain tu nettoieras cette pièce. Fin de la discussion ! ».
Le lendemain, il dut se mettre au travail. Soudain, il entendit un bruit. Il s’en rapprocha de plus en plus, et remarqua que ce bruit venait du livre trouvé le jour précédent qui venait de tomber. Alors il lâcha son torchon et engouffra le livre dans sa poche puis se remit à l’ouvrage. Quand il eut finit il rentra chez lui.
Quand il arriva enfin chez lui, il feuilleta le livre et apprit que dans la forêt du danger, se trouvait un aigle très puissant. On l’appelait « le grand aigle de la forêt ». Alors, le soir même, il partit pour la forêt du danger sans le dire à personne. Quand il se trouva là-bas, il comprit vite pourquoi les autres appelaient cette forêt « la forêt du danger ». Elle était en effet tellement sombre, silencieuse. Au bout d’une heure de marche, Hérick commença à avoir faim. Et il remarqua vite qu’il n’avait rien emporté dans son sac. Mais il lui restait une chance de manger, il commença à chercher dans la forêt toute entière. Il finit finalement par manger quelques fruits. A force de chercher de la nourriture (en vain) il se retrouva perdu dans la forêt…
Puis il se rappela que dans le livre en or il y avait un plan de la forêt. Alors, il se dirigea vers la prairie où se trouvait « le grand aigle de la forêt ». Après un petit moment, il se retrouva face à l’aigle : il se nommait Wiki Weasley. Il était gigantesque et mesurait au moins 10 mètres de hauteur et 5 mètres de largeur.
Quand il leva la tête vers l’aigle, il se mit à hurler. Mais au fond, il se disait « je l’ai trouvé » ! D’une voix étouffée mais haute, Wiki lui demanda : « Que fais-tu ici Hérick ? » Hérick commença d’une toute petite voix: « O grand aigle de la forêt… ». Wiki commença à claquer des doigts, et une armée de piques surgit des ténèbres de la forêt. Après quelques secondes, il envoya les piques sur le hérisson. Hérick eut beau se débattre, les piques foncèrent quand même sur lui. D’un nouveau claquement de doigts, Wiki fit apparaitre Hérick devant l’école.
Une seconde plus tard, Hérick aperçut le maître qui accourait vers lui. Après avoir tout expliqué à la classe et au maître, tous les hérissons de l’école voulurent avoir des piques.
C'est ainsi que bien des générations plus tard, les hérissons portent encore des piques
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